ChatGPT : une technologie qui séduit les jeunes!

ChatGPT : une technologie qui séduit les jeunes!

L’intelligence artificielle (IA) est une technologie qui a connu des avancées majeures au cours des dernières années, et l’un des exemples les plus marquants de cette évolution est l’introduction de ChatGPT. Ce robot a été conçu pour interagir avec les utilisateurs de manière naturelle et conversationnelle.

Grâce à sa capacité à traiter un grand nombre de données et à fournir des réponses instantanées, ChatGPT est rapidement devenu un outil utilisé par des milliers de personnes au quotidien. Nous avons donc voulu sonder la population québécoise afin de comprendre et d’analyser le rapport qu’ils entretiennent avec l’outil. Notre sondage se basait sur un échantillon de 1077 répondants québécois et a été réalisé du 8 au 15 mai 2023.

Notre enquête a révélé que la moitié des Québécois (50 %) ont déjà entendu parler de ChatGPT. Le taux d’utilisation de celui-ci se chiffre à 18 %, ce qui signifie que la majorité des Québécois n’en ont pas encore une expérience concrète.

Nous avons également constaté que l’utilisation du robot conversationnel augmente à 40 % chez les 18-34 ans, un résultat qui s’explique par le fait que les jeunes sont plus à l’aise avec l’utilisation des outils numériques et plus ouverts à l’adoption de nouvelles technologies.

Il y a donc clairement un fossé générationnel à l’œuvre ici. En effet, que ce soit pour la notoriété ou le taux d’utilisation, les résultats diffèrent considérablement entre les plus jeunes et les moins jeunes. À titre d’exemple, seulement 3 % des 65 ans ou plus ont utilisé ChatGPT.

Les Québécois se montrent prudents en ce qui concerne le développement et la progression de l’intelligence artificielle. Faisant écho à plusieurs avertissements d’experts dans les médias au cours des derniers mois, près du quart des Québécois (23 %) désapprouvent sa progression et plus du tiers (37 %) a refusé de prendre position. Seulement 10 % des Québécois ont exprimé un appui catégorique à son développement et à sa progression. Cela dit, rassurez-vous, ce texte a entièrement été écrit par des humains!

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Un été occupé en vue pour l’industrie touristique

Un été occupé en vue pour l’industrie touristique

Les vacances représentent une période privilégiée de l’année où il est possible de sortir de la routine quotidienne et de prendre une pause bien méritée. Néanmoins, au regard de la conjoncture économique, de plus en plus de ménages décident de lier les cordons de leurs bourses afin de profiter de la période estivale sans se ruiner. Afin d’identifier les destinations envisagées par les Québécois pour leurs vacances d’été, nous avons effectué un sondage auprès de 1 089 personnes du 1er au 7 mai.

Notre sondage a démontré que près de la moitié des Québécois (47 %) envisagent le Québec pour leurs vacances estivales, ce qui place la belle province loin devant toutes les autres destinations. Ce choix est motivé notamment par une conjoncture économique défavorable, avec une inflation élevée (4,3 % en mars au Canada) et certainement par les nombreux attraits de la province, qui ont de quoi faire rêver!

Par ailleurs, une proportion non négligeable de Québécois prévoient un voyage à l’extérieur de la province. Trois destinations ressortent du lot : les États-Unis (11 %), l’Europe (9 %), et le reste du Canada (9 %). L’Amérique latine est dans les plans de 5 % des Québécois.

De plus, l’analyse de l’ensemble des destinations envisagées nous permet de conclure qu’au moins 15 % des Québécois prendront leur envol cet été. Enfin, notons que tous ces résultats concordent avec ceux de l’étude annuelle réalisée par le CAA en 2022. Il n’y a donc pas d’évolution majeure prévisible par rapport à l’été dernier. Un été chaud s’annonce pour l’industrie touristique québécoise.

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Les citoyens sont prêts pour le virage numérique de l’État québécois

Les citoyens sont prêts pour le virage numérique de l’État québécois

Le 22 février dernier, le Centre d’expertise des grands organismes (CEGO) a présenté, lors d’un webinaire virtuel, les résultats d’un sondage réalisé par SOM.

Cette étude, commandée par le groupe de travail sur la communication avec la clientèle du CEGO, avait pour objectif de guider les organismes membres dans la poursuite de leur virage numérique. Considérant que la pandémie a obligé les citoyens à faire des transactions à distance, on se demandait jusqu’à quel point ces derniers avaient adopté de nouveaux modes de communication pour interagir avec l’État.

Ayant moi-même siégé sur différents groupes de travail du CEGO au cours de ma carrière dans la fonction publique, j’étais très enthousiaste de collaborer à ce projet!

Le sondage téléphonique réalisé auprès de 1 200 adultes québécois au printemps 2022 a permis de faire d’intéressants constats dont je dresse les grandes lignes ici.

Une transformation durable

Environ quatre Québécois sur dix (42 %) ont été amenés à utiliser de nouveaux modes de communication ou à utiliser davantage les modes de communication par internet pour joindre le gouvernement durant la pandémie. Et le plus intéressant est que la presque totalité de ces citoyens (92 %) comptent maintenir ces nouvelles habitudes. La pandémie semble donc avoir eu un effet durable sur la façon dont les Québécois transigent avec l’État.

Un potentiel de migration immense!

Certes, les modes traditionnels comme le téléphone et le courrier postal demeurent les modes préférés de plusieurs citoyens lorsque vient le temps d’obtenir une information générale sur un programme ou un service du gouvernement, de demander ou de recevoir une information concernant leur dossier personnel ou encore de transmettre ou de recevoir un document (la proportion de citoyens préférant un mode traditionnel varie entre 37 % et 47 %, selon le type d’interaction). Toutefois, lorsqu’on leur demande s’ils seraient prêts à utiliser un mode de communication par internet, une majorité d’entre eux (environ les deux tiers) répondent par l’affirmative. Cette ouverture constitue une excellente opportunité pour les organismes qui auront à négocier le virage numérique.

Et qu’en est-il des bons vieux services téléphoniques?

Si les services téléphoniques sont souvent préférés par les Québécois de 55 ans ou plus, ils le sont aussi par plusieurs jeunes. On constate effectivement que près du quart des 18-34 ans vont préférer ce mode pour obtenir une information sur un programme ou un service ou encore, pour demander ou recevoir une information concernant leur dossier personnel.

Il semble d’ailleurs que les services téléphoniques seront essentiels à une transition numérique harmonieuse. Le téléphone est effectivement le mode préféré des citoyens de tous les groupes d’âge (à 63 %) lorsqu’on leur demande comment ils souhaiteraient être aidés pour remplir un formulaire ou effectuer une transaction en ligne.

En somme, la pandémie n’a pas eu que des effets négatifs : elle a contribué à transformer les pratiques et laissé entrevoir à plusieurs citoyens toutes les possibilités offertes par les modes de communication numériques. C’est très certainement une bonne nouvelle pour les organismes qui s’apprêtent à effectuer le virage numérique!

* On peut consulter le webinaire et la présentation sur le site web du CEGO.

Le tabou persiste

Le tabou persiste

Parmi tous les sujets de discussion qui meublent votre quotidien, l’argent n’arrive-t-il pas en premier? Est-ce le genre de sujet que vous préférez passer sous silence? Rassurez-vous, vous n’êtes pas seul! Malgré la montée en puissance de l’inflation en 2022, il semble que le tabou lié à l’argent persiste en grande partie chez les Québécois.

On le sait depuis longtemps, il existe des stéréotypes négatifs associés à la pauvreté et à la richesse. Cela peut rendre les gens mal à l’aise de discuter d’argent. De plus, la littératie financière varie grandement d’une personne à l’autre, contribuant parfois à des tensions ou des malentendus lors de discussions ouvertes sur le sujet. Sans compter que les finances personnelles sont souvent considérées comme personnelles (comme le nom l’indique!). SOM a voulu vérifier dans quelle mesure le tabou de l’argent subsiste au Québec.

Premier constat de notre sondage réalisé du 9 décembre 2022 au 19 janvier 2023 auprès de 1006 internautes : seulement trois Québécois sur dix (29 %) parlent d’argent ouvertement avec les autres de manière régulière. Cela étant dit, le contexte d’inflation semble avoir délié les langues, car la moitié des Québécois avoue parler d’argent plus souvent que d’habitude ces jours-ci.

Le salaire : un tabou encore plus tenace

Lorsqu’il est question de discuter de salaire avec amis ou proches, les réticences sont palpables. En effet, seulement 14 % des Québécois en parlent régulièrement avec les autres. On comprend facilement le malaise, le salaire pouvant malheureusement être perçu par certains comme un indice du « succès » des individus, voire de leur bonheur.

L’argent et le bonheur

Lorsque questionnés sur l’impact de l’argent sur le bonheur, les Québécois se montrent prudents. Par exemple, même si environ la moitié d’entre eux (49 %) croit que l’argent fait le bonheur, seulement 9 % sont catégoriques à cet effet. La recette du bonheur paraît plus complexe. Toutefois, la notion que l’argent mène le monde semble faire consensus. En effet, 90 % des Québécois expriment leur accord avec ce dicton, incluant plus de la moitié (53 %) qui se montre catégorique. L’argent mènerait donc le monde, mais pas nécessairement vers son bonheur!

Plusieurs Québécois boudent la bourse

À peine le tiers des Québécois (31 %) démontre un intérêt pour la bourse. Ici, un fossé existe entre les jeunes et les moins jeunes. En effet, l’intérêt pour la bourse augmente à 45 % chez les 18-34 ans. Seulement 12 % des Québécois s’intéressent aux cryptomonnaies, ce qui pourrait être vu comme une bonne nouvelle, alors que c’est autour de 20 % chez les 18-34 ans.

Des actions au sein du portefeuille

Environ quatre Québécois sur dix (42 %) auraient de l’argent investi dans des actions à la bourse, peu importe sous quelle forme (titre individuel, FNB, fonds commun), contre seulement 11 % pour les cryptomonnaies. Enfin, notons qu’une vaste majorité de Québécois (91 %) s’intéresse à leurs finances personnelles, ce qui est rassurant dans le présent contexte inflationniste. Sans aucun doute, notre budget et nos finances auront besoin de toute notre attention en 2023. Et je parie que l’on va parler d’argent encore quelques fois avant la fin de l’année!

 

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Adapter l’expérience employé selon les besoins : un défi nécessaire

Adapter l’expérience employé selon les besoins : un défi nécessaire

« Ce que l’on croit important pour un employé n’est pas nécessairement ce qui est important pour lui. […] Les travailleurs étant des personnes, ils sont par définition uniques. Tenter de les faire entrer dans le même moule n’est pas sans risques. »

Daniel Lafrenière, De kessé l’expérience employé?, p. 159.

En effet, le sondage exclusif SOM-Lafrenière (partie 1, partie 2) mené auprès de plus de 1 000 travailleurs québécois montre plusieurs différences en matière d’expérience employé, en particulier selon certaines caractéristiques de l’emploi. En voici un aperçu non exhaustif.

Personnel en contact avec la clientèle : Le manque de reconnaissance au travail affecte tout particulièrement le personnel de première ligne, beaucoup plus en fait que les employés qui ne tiennent pas ce rôle. La reconnaissance semble ainsi tirer sa source autant de la clientèle que de l’organisation… avis aux clients grognons! 

Employés à temps partiel : Les employés à temps partiel sont moins sensibles au salaire que ceux à temps plein. En fait, ils accordent plus d’importance à l’horaire de travail qu’au salaire. Comme quoi la flexibilité qui vient souvent avec le temps partiel est un élément recherché.  

Ouvriers, manutentionnaires ou journaliers : Chez les gens qui occupent des emplois de cette catégorie, l’espace de travail inadapté arrive en tête des facteurs les plus irritants, suivi des horaires de travail.

Personnel technique :  Les individus qui travaillent comme technicien ou qui détiennent un diplôme d’études collégiales sont particulièrement sensibles au salaire, beaucoup plus que toutes les autres catégories d’emploi.

Personnel d’encadrement : Les cadres carburent surtout à la reconnaissance et à l’autonomie; ils sont par ailleurs plus sensibles à la nature des tâches et souhaitent une réelle progression. Le salaire n’a que peu d’impact sur la décision de quitter un emploi.

Employés insatisfaits : Les travailleurs insatisfaits de leur emploi actuel sont particulièrement contrariés par le manque de reconnaissance et la lourdeur de la charge de travail, des irritants qui s’avèrent beaucoup plus déterminants que le salaire dans ces cas particuliers. Ils se distinguent par ailleurs des employés satisfaits par une plus grande sensibilité au leadership inspirant.

Comment est vécue l’expérience employé chez vous? Quels facteurs sont les plus susceptibles de bonifier l’expérience de vos employés? Pour le savoir, il faut d’abord et avant tout… leur demander. Pour mettre en place une démarche structurée de mesure et de gestion de l’expérience employé, n’hésitez pas à nous contacter

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La « microgestion » : une plaie!

Que pensez-vous d’un supérieur immédiat qui surveille étroitement tout ce que vous faites au boulot ou qui regarde constamment par-dessus votre épaule? Cette « microgestion » fait partie du top 3 des irritants pour presque tous les travailleurs, à l’exception des ouvriers ou journaliers. Le personnel de cette catégorie d’emploi est plus irrité encore – on le comprendra – par des considérations propres à ce type de travail, comme un environnement de travail inadapté (sale, trop chaud, trop froid) ou un horaire atypique.

L’amour (ou non!) du travail

Choisis un travail que tu aimes et tu n’auras pas à travailler un seul jour de ta vie! Cette citation souvent attribuée à Confucius illustre l’un des irritants importants du travail moderne : la réalisation de tâches pour lesquelles on a aucun intérêt. Si on peut s’attendre à effectuer certaines tâches qui plaisent moins dans un milieu de travail, surtout dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, cela peut vite devenir un facteur décisif dans la décision de quitter un emploi.

Le manque de reconnaissance

Ce n’est pas nouveau, les travailleurs ont besoin de sentir que leur travail est reconnu à sa juste valeur. Sinon, cela peut devenir une frustration assez importante pour les décider à quitter leur emploi. D’ailleurs, chez les travailleurs qui se disent actuellement insatisfaits de leur emploi, le manque de reconnaissance est l’ennemi – lire l’irritant – numéro 1.

Et le télétravail dans tout ça?

L’impossibilité de faire du télétravail n’est pas déterminante dans la décision de quitter un emploi; le télétravail serait ainsi davantage un facteur attractif que répulsif. Il demeure toutefois un facteur plus important pour les employés dont le travail consiste essentiellement à être derrière un écran et pour ceux qui font déjà l’expérience du télétravail.

Parfaire notre connaissance de l’expérience employé ne peut qu’être bénéfique pour les entreprises, puisqu’il s’agit, entre autres, d’un intrant direct à une bonne expérience client. Comme le disait Daniel Lafrenière hier dans Les Affaires : «Pas d’expérience employé, pas d’expérience client»! L’équation est simple.

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L’intérêt pour l’expérience employé ne faiblit pas : il ne se passe pas une semaine sans qu’une industrie fasse les manchettes pour la pénurie de main-d’œuvre ou encore qu’une entreprise expose ses pratiques novatrices pour la contrer.

Si l’expérience employé (Employee Experience – EX) peut effectivement faire la différence pour attirer et retenir les talents, elle est également un ingrédient indissociable de l’expérience client (Customer Experience – CX).

À ce propos, notre partenaire Daniel Lafrenière, bien connu dans le «petit monde» du CX québécois, lance un tout nouvel ouvrage qui aborde cette question de tous les côtés. Dans De kessé l’expérience employé?, Daniel explique comment prendre soin de vos employés les conduit à prendre soin de vos clients… qui les conduit à vous rester fidèles et à être des ambassadeurs de votre marque!

L’équation est peut-être simple de prime abord, mais les éléments qui constituent l’expérience employé sont nombreux et ne revêtent pas la même importance pour tous. Dans une enquête exclusive élaborée en collaboration avec Daniel, nous avons hiérarchisé diverses composantes de l’expérience selon qu’elles peuvent mener un employé à quitter son emploi.

Télécharger le rapport sommaire des résultats

Un salaire inférieur aux attentes : attention, danger!

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