Deux tu l’auras valent mieux qu’un tien!
La fable de La Fontaine « Le petit poisson et le pêcheur » se termine comme suit : « Un tien vaut, ce dit-on, mieux que deux tu l’auras : L’un est sûr, l’autre ne l’est pas. » La sagesse du célèbre fabuliste français correspond-elle vraiment à la sagesse populaire? C’est ce que SOM a tenté de savoir dans le cadre d’une étude de marché pas comme les autres.