Fin du recensement obligatoire… quelles conséquences pour les sondeurs?
La nouvelle, publiée en pleine effervescence de l’après-G20, n’a pas fait beaucoup de bruit. Le 29 juin dernier, on apprenait ainsi que la version longue du questionnaire de recensement, habituellement envoyé à 1 ménage sur 5, ne comportera plus de participation obligatoire (voir l’article de Cyberpresse).
Il sera plutôt remplacé par une enquête à participation volontaire, soit l’enquête nationale auprès des ménages, qui ciblera le tiers des ménages canadiens. En revanche, la version courte du recensement demeurera obligatoire.
Les conséquences de cette décision seront dommageables pour toute l’industrie du sondage. Voici pourquoi.