L’industrie du sondage se réveille et réclame la transparence!
Ceux qui me lisent régulièrement savent que je dénonce à l’occasion le manque de transparence dans la publication des résultats de sondage (surtout de la méthodologie qui les accompagne; voir par exemple ce billet et celui-ci). Je ne peux malheureusement pas rapporter tous les cas douteux – il y a en chaque semaine dans les médias : des méthodologies écourtées ou trompeuses, des généralisations abusives voire des sondages de pacotille qui ne servent qu’à faire la nouvelle.
Je ne suis certainement pas la seule que ce manque d’éthique chatouille. D’ailleurs, preuve que le charlatanisme est à la hausse, l’AAPOR a lancé récemment The Transparency Initiave. Je vous en parle brièvement aujourd’hui.
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Vous vous seriez attendu à plus? Moi aussi! Twitter serait-il encore l’apanage des «
Vous aimez les grands crus? Vous vous fiez au jugement des experts pour choisir une bonne bouteille? Vous êtes attiré par les vins médaillés? Sachez alors qu’un statisticien a montré que l’évaluation des vins par les experts n’était pas très différente… du hasard!
Depuis 2003, la firme 
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Près d’un internaute sur 4 (23 %) estiment plutôt que la crise est «plus grave» ou «beaucoup plus grave» que prévu. Cette proportion est significativement différente dans certains groupes. Par exemple :